Faire cohabiter logement et petite production

Industrie voisine

Lieu
Pantin [93]

Programme
18 logements familiaux en accession, 1 local commercial, 1 café-cantine, 4 ateliers, 1 espace de co-working

Mission
Projet Inventons la Métropole du Grand Paris II

Maîtrise d’Ouvrage
Brémond & Lamotte

Lieu
Pantin [93]

Programme
18 logements familiaux en accession, 1 local commercial, 1 café-cantine, 4 ateliers, 1 espace de co-working

Mission
Projet Inventons la Métropole du Grand Paris II

Maîtrise d’Ouvrage
Brémond & Lamotte

Date
2017

Surface
3440 m² SDP

Budget
5M€

Equipe
Syvil architectures, Promoteur de Courtoisie Urbaine (AMO habitat participatif), Paludes (paysagiste), ZEFCO (environnement), Gallia, Ecobul, Caboom (exploitants)

Date
2017

Surface
3440 m² SDP

Budget
5M€

Equipe
Syvil architectures, Promoteur de Courtoisie Urbaine (AMO habitat participatif), Paludes (paysagiste), ZEFCO (environnement), Gallia, Ecobul, Caboom (exploitants)

N’y a-t-il pas une échelle de production matérielle -l’artisanat- éminemment compatible avec l’habitat ? Comment démontrer des bénéfices mutuels ? Comment organiser la cohabitation?

    A l’occasion d’Inventons la Métropole du Grand Paris 2 sur le site à l’angle de la Rue Candale et de la rue Méhul à Pantin, se développe un ensemble mixte alliant des logements familiaux en accession, un commerce alimentaire bio, un café-cantine, des ateliers d’artisanat alimentaire et un espace de co-working. Ce projet a pour ambition de faire symbiose entre l’habitat et petite production. Il est une véritable expérimentation sur l’économie circulaire à la petite échelle du logement. Dans une démarche participative, les habitants sont consultés et ont fait émerger des besoins transcrits par la suite dans le projet, notamment par l’usage d’une loggia-cellier. En parallèle, un travail sur la cohabitation petite production/habitat a été mené avec les futurs utilisateurs, un spécialiste de la maîtrise d’usage, un acousticien, et un paysagiste.
L’usage de la brique, de ses motifs, du bois en ouvrages de menuiseries (les loggias-celliers), d’un paysage planté à la façon d’un boisement d’Ile-de-France offert au cœur d’ilôt et à la rue, une cour commune organisée dans ses circulations et ses règles d’usage, en font un lieu vivant à la manière des cours artisanales de faubourg du XIXe siècle, caractéristiques du tissu parisien.